# 35, étude, engazonnement, fauche tardive, travaux extension et réménagement, 2 000 à 5 000 hab
Commune de PLERGUER
• Bassin Versant : Bassins Côtiers de Dol
• Communauté de communes :
Saint-Malo Agglomération (35)
• 2 900 habitants
• 4,5 agents polyvalents
Contexte et génèse
La commune de Plerguer présente dans ce document le réaménagement d’un cimetière existant et son extension.
Gestion initiale
Avant 2014, le constat d’un manque d’espace disponible conduit l’équipe municipale en place à acquérir une parcelle attenante au cimetière, en vue de réaliser son extension.
En 2014, une nouvelle équipe municipale s’installe, elle reprend parmi les différents dossiers un « Avant Projet Détaillé » de l’extension du cimetière qui avait été sollicité par l’équipe précédente.
L’étude des propositions faites dans ce projet montre des incompatibilités avec les objectifs ( Zéro-phyto, maitrise des temps d’entretien et des coûts d’aménagements) que s’était fixée la commune.
Après des échanges infructueux avec le bureau d’études à l’origine de la proposition, il est décidé de mettre fin à ce projet.
En 2015, la commune lance une consultation dans le cadre d’une procédure adaptée, elle rédige dans cette optique un « programme de maîtrise d’œuvre » qui précise les objectifs suivants :
- Favoriser la notion de « jardin paysager »
- Favoriser la continuité entre le cimetière existant et l’extension
- Améliorer l’infiltration d’eau pluviale
- Prendre en compte les contraintes d’entretien dans les aménagements et le choix des matériaux dans un objectif Zéro-phyto
La municipalité retient la proposition de l’architecte Roch de Crevoisier associé au cabinet Quarta, une réponse répondant aux objectifs formulés et suggérant de réétudier le cimetière existant.
Le terrain disponible pour l’extension se situe derrière la clôture en béton dans le prolongement du monument
La situation initiale : 2015
Le cimetière existant a une superficie de 5400m², il a un caractère très minéral, composé d’allées en graviers et délimité par des clôtures en béton.
Les contraintes de désherbage y sont importantes (336 heures de binage par an)